Cérémonie patriotique de Saint-cézaire sur siagne

En ce jour de fête Nationale, à Saint Cézaire sur Siagne, à l’invitation du Maire, Christian ZEDET, il était important pour moi de mettre en avant les valeurs de notre République et de ceux qui la font.C’est pourquoi j’ai tenu à assister à la cérémonie patriotique de Saint-cézaire sur siagne, pour célébrer notre Fête Nationale et rendre hommage à nos forces de sécurité et plus particulièrement à nos valeureux sapeurs-pompiers volontaires, ces femmes et ces hommes, qui s’engagent sur leur temps libre, en plus de leur activité professionnelle, et parfois même, au détriment de leur propre moment en famille.Il était important pour moi de témoigner toute ma considération et mon admiration, pour nos héros du quotidien qui font le choix de s’engager au service des autres, protégeant ainsi notre modèle sociétal.Je veux leur dire, au nom de tous les habitants de notre territoire, un immense Merci !Il me tenais également à cœur d’assister aux nombreux passage de grade, ainsi que remise de distinctions, en symbole de notre gratitude et pour rappeler le soutien sans faille du Département des Alpes-Maritimes

Je tiens à rappeler le soutien de son Président Charles Ange Ginesy qui a accordé une enveloppe budgétaire de plus de 90.000€ annuelle à la compagnie de Grasse, afin de permettre aux centres de secours de St Cézaire, Cabris et Mouans-Sartoux que les gardes postées en caserne soient dorénavant (depuis le 1er juillet) indemnisées.Mes remerciements se tournent également vers le président de la commission des finances Eric Ciotti car cette enveloppe permettra de fidéliser le volontariat, maintenir l’attractivité de nos centres de premiers secours et reconnaitre le dévouement sans failles de nos sapeurs-pompiers volontaires de la compagnie de Grasse, placée sous le commandement du Commandant Jean-Christophe DEMARTE. Souvenons-nous que la République et la Démocratie, sont des valeurs faites de lois mais incarnées de Femmes et d’Hommes qui œuvrent chaque jour dans l’anonymat pour que nous demeurions dans un monde libre.