En ces temps où les repères vacillent et où notre pays fait face à des défis majeurs, j’ai souhaité marquer ma confiance, mais aussi mon espoir, en exprimant publiquement mon soutien à Bruno RETAILLEAU dans le cadre de la primaire pour la présidence des Républicains.
Ce soutien, je l’ai voulu réfléchi, construit, et sincère. Nous avons longuement échangé ensemble pour évoquer l’état de notre pays, les responsabilités qui nous incombent, et la nécessité, aujourd’hui plus que jamais, d’offrir une alternative politique crédible, forte, et profondément enracinée dans nos valeurs républicaines.
Bruno RETAILLEAU c’est la cohérence dans la durée, la fermeté dans l’action, et la clarté dans les convictions.
Sa constance, son attachement viscéral à la France, sa capacité à rassembler sans jamais renier ses convictions en font un homme politique à part. Un homme d’expérience, de courage, mais aussi de mesure et de vision.
Son parcours parle pour lui : à la tête des sénateurs de la droite pendant près de dix ans, il a su incarner une ligne de clarté, d’autorité, et de responsabilité. Aujourd’hui, dans ses fonctions ministérielles, il poursuit cet engagement avec fermeté et bon sens, au service de l’intérêt général.
Dans un contexte où l’ordre, la cohésion nationale et la maîtrise de notre destin économique deviennent des priorités absolues, Bruno Retailleau représente, à mes yeux, une voie à la fois lucide et déterminée. Il parle d’autorité sans excès, d’équilibre sans mollesse, de liberté sans complaisance.
La droite a besoin de se refonder. Elle a besoin d’un projet clair, d’un cap, d’une voix. Et elle a besoin d’un chef capable de dire non quand il le faut, et de rassembler quand c’est nécessaire. Bruno incarne cela avec force.
Ce soir, depuis Cannes, je veux appeler notre famille politique à se rassembler derrière une candidature qui dépasse les postures et les querelles de personnes. Le temps n’est plus aux divisions, mais à la reconstruction.
Parce que la France n’attendra pas.
Parce que les Français n’en peuvent plus d’espérer sans jamais voir de résultats.
Parce que les réformes ne sont plus seulement souhaitables : elles sont urgentes.