27 janvier 2020, journée internationale à la mémoire des victimes de la
Shoah et la date anniversaire de la libération du camp
d’Auschwitz-Birkenau.
Il y a 75 ans le monde découvrait avec effroi
l’innommable : l’extermination méthodique d’une population par des
bourreaux d’un autre siècle, les nazis.
C’est un crime qui n’a pas
de nom tellement il est ignoble, c’est un crime unique par sa méthode
scientifique, c’était la « solution finale » comme l’appelaient les
nazis.
C’est un crime unique par sa nature puisqu’il avait pour but d’effacer toute preuve des massacres.
Le camp d’Auschwitz-Birkenau a été le plus grand camp de concentration
et d’extermination construit par les nazis pour faire aboutir leur
projet funeste de « solution finale ».
Chaque année en visitant
ce camp les paroles m’ont manquées pour décrire « l’indescriptible »,
que le lieu m’a fait ressentir, par son silence, par l’impression de
terreur qu’ont éprouvée les malheureuses victimes conduites à
l’abattoir, impression qui semble gravée dans chaque pierre, chaque
édifice, chaque mètre carré que nous avons foulé avec le groupe
d’élèves.
C’est pour cela que les visites organisées par le Département des Alpes-Maritimes et son président Charles Ange Ginesy
sont importantes pour sensibiliser les jeunes générations, afin que
cette tragique page de l’humanité ne tombe pas dans les oubliettes de
l’Histoire.
Aujourd’hui, il ne reste plus que les mots pour dénoncer ce crime contre l’humanité.
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