J’ai tenu à me rendre à la minute de recueillement organisée au Commissariat de Police de Grasse, en Mémoire du commandant de police Jean-Baptiste Salvaing et de sa compagne Jessica Schneider, assassinés dans des conditions qui relèguent l’auteur de cet acte, au niveau de la barbarie la plus ignoble, celle qui ne possède plus le droit d’appartenir à l’Humanité.
Comme l’ensemble des Policiers Nationaux et Municipaux, ainsi que les Gendarmes présents à cette Cérémonie, deux sentiments m’ont envahi très fortement : la Peine et la Révolte.
En ce moment précis, il est de mon Devoir, sans occulter l’hommage dû aux victimes et mes condoléances que je présente aux familles et à l’ensemble de la Police Nationale, de déclarer, que si nous sommes particulièrement choqués par ce crime abominable, nous nous devons d’être encore plus déterminés, à éradiquer toutes les organisations qui agissent de la sorte, ainsi que leurs soutiens.
Pour ma part, je suis fier de pouvoir soutenir nos Forces de l’Ordre et fier de tout mettre en œuvre, pour que de nouvelles lois puissent permettent de durcir les sanctions pénales, envers, il faut le dire, des sauvages qui s’attaquent à notre modèle social.